• Une épaule pour râler m'en fou si c'est pas l'expression

    Une épaule pour râler.

    Voilà un visage que je ne pensais pas revoir de si tôt... Je ne savais pas si je devais être content de le revoir ou si j'allais juste laisser éclater ma colère. Je le fixais simplement à mesure qu'il approchait, et je voyais un sourire amical, quoique légèrement crispé, se dessiner sur son visage.

    - Salut Vincent ! Désolé de pas avoir été là à ta sortie...

    - Salut...

    - Pas la forme hein ? J'm'en doutais...

    Une épaule pour râler.

    - Lucas je sens que si je ne trouve pas immédiatement un objet sur lequel frapper je vais commettre un meurtre ! Et le problème justement, c'est qu'il n'y a fichtrement rien sur lequel passer mes nerfs ici ! à part la statue mais j'aurais plus mal qu'elle si je la frappe

    'Fin à part lui, mais j'allais pas lui sauter dessus pour l'étrangler quand même, c'était mon meilleur ami et on se connaissait depuis le primaire (avec deux ans d'écart pourtant, lui l'aîné, c'est marrant mais ça a marché au premier coup d'oeil, on est devenu inséparables en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire), je pourrais pas lever le petit doigt sur lui même si à l'heure actuelle j'en voulais à la planète Sim entière.

    Une épaule pour râler.

    - Eh du calme... vois le bon côté des choses : tu n'auras plus à fréquenter tes parents, t'arrêtais pas de t'en plaindre tu devrais être plutôt content qu'ils ne soient plus là non ?

    Une épaule pour râler.

    - Ca me fait une belle jambe tiens... je te signale que j'ai pas un simflouz en poche, un diplôme tout juste acceptable, pas de travail et même pas d'endroit où dormir !

    Une épaule pour râler.

    - Je sais... bon écoute, tu n'as qu'à venir t'installer chez moi quelques jours, tu pourras y réfléchir à tête reposée. J'te connais si tu ne te calmes pas tu vas partir en vrille et faire des bêtises, et ça t'a déjà coûté assez cher apparemment....

    - Oui bah c'est bon remets pas ça sur le tapis !

    Je n'avais vraiment pas envie de me remémorer ce qui m'avait collé sous les verrous, je le suivais donc en silence tandis qu'il me menait chez lui. Je remarquais par ailleurs qu'il avait changé d'adresse et ne devait par conséquent plus vivre chez ses parents.

    En tout cas, c'était une bien belle maison, bon, rien par rapport à celle qu'avaient mes parents avant, mais bien bien bien bieeen mieux que mon trou à rat actuel.

    - Je vais préparer le repas, fais comme chez toi.

    Une épaule pour râler.

    Je restais planté là dans l'entrée, à regarder l'air un peu perdu les alentours, sans vraiment savoir que faire. C'était un peu comme si je m'attendais à ce qu'un gardien vienne m'indiquer le chemin à prendre en me surveillant du regard. Mais là il n'y avait ni gardien ni barreaux, et j'avais soudain l'impression d'avoir perdu toute autonomie.

    Une épaule pour râler.

    Des pas dans les escaliers me tirèrent de mon égarement, et je vis une fille au carré blond qui me semblait vaguement familière descendre les marches.

    Une épaule pour râler.

    - Bonjour, tu dois être Vincent. Je m'appelle Dina Caliente, je suis la fiancée de Lucas.

    Alors là je tombais des nues, Lucas était fiancé ! A une Caliente en plus ! Pas que je les connaisse personnellement, bien qu'il y ait eu quelques rumeurs sur un certain ménage à quatre avec un certain Don Lothario qui frimait souvent à la salle de sport mis à part ça je le trouvais plutôt sympa, mais il me semblait que même la plus jeune des filles était plus âgée que nous... Enfin bon, c'était les affaires amoureuses de Lucas pas les miennes, j'avais pour ma part bien plus préoccupant à gérer. Je ne savais pas vraiment quoi lui dire, puisqu'il semblait qu'elle était déjà au courant à mon sujet, je gardais alors un silence que je trouvais un peu malpoli, mais elle ne s'en formalisa pas et enchaîna :

    - Tu ne dois pas être très à l'aise dans cette tenue, viens je vais te trouver de quoi te changer dans les affaires que Lucas ne met plus.

    Je la suivais à l'étage avec un hochement de tête reconnaissant, j'étais plutôt habitué à ce genre de tenue, mais un peu de neuf ne ferait pas de mal surtout sachant que je partais de presque rien...

    Une épaule pour râler.

    - Voici notre chambre d'amis, désolée elle n'est pas très grande et nous envisagions de la reconvertir en chambre d'enfant, installe-toi et mets toi à l'aise, tu n'as qu'à rester quelques jours le temps de trouver un travail.

    Je la remerciai quelque peu mal à l'aise, si en plus ils prévoyaient d'avoir un enfant et que moi je me tapais l'incruste comme ça chez eux, j'avais plutôt intérêt à me dépêcher de leur laisser le champ libre. Dina sortit de la pièce et je me mis à fouiller dans la commode à la recherche d'un ensemble qui m'irait.

    Une épaule pour râler.

    Voilà qui était déjà un peu mieux. A peine en avais-je terminé que j'entendis qu'on m'appelait d'en bas pour le dîner.

    Je descendis et m'installais dans la salle à manger toujours avec un certain malaise, j'étais tellement habitué à l'austérité du self de la prison que ça me dépaysait presque tout ça... et je n'avais pas encore senti l'odeur du plat tout chaud, un parfum délicieux qui me changeait de la nourriture fade habituelle, mon estomac en gargouillait d'avance.

    Si au départ le silence régnait dans la pièce - hors mis les bruits de mastication -, Dina dîna le rompit assez vite, entamant la conversation sur ce qu'il s'était passé d'intéressant dans le quartier durant ces six derniers mois.

    Une épaule pour râler.

    Petit à petit je me détendais, c'était bien différent des repas avec les autres détenus et ceux très stricts de ma famille, ici tout était chaleureux ce qui me faisait peu à peu quitter cet air morose du visage pour participer à mon tour et voir un peu ce que j'avais loupé, plaisanter sur le devenir de certaines familles.

    Une épaule pour râler.

    Plus le repas avançait et plus je remarquais ce regard amoureux qu'avait Lucas pour sa fiancée, il était fou d'elle. En même temps il y avait de quoi, Dina n'était pas mauvaise à regarder et un constant sourire illuminait ses conversations. En tout cas, j'espérais que ça marcherait entre eux, et que je ne les gênerais pas trop...

    Le dîner s'acheva et Dina se leva pour se saisir des restes.

    Une épaule pour râler.

    - Bon, je vais vous laisser discuter, vous avez sans doute plein de choses à vous dire. A tout à l'heure mon chéri.

    Elle lui envoya un baiser volant et de nouveau un silence gêné s'installa entre nous, que Lucas finit par briser :

    Une épaule pour râler.

    - Bon alors ? Je sais que tu n'as sans doute pas très envie d'en parler mais si tu me racontais un peu les détails de l'affaire ? Ils t'ont envoyé à l'ombre si vite que je n'ai pas pu avoir la vraie version de l'histoire... et celle que j'ai eu était franchement pas belle.

    - Mouais j'imagine bien, enfin... tu vois Malcolm Plènozas qui était dans ma classe au lycée ?

    - Ouais.

    - Je pouvais pas m'le piffrer ce gars, il arrêtait pas de frimer continuellement et en plus il cherchait des noises à tout le monde - moi compris - en se croyant à l’abri tout ça parce qu'il s'appelait Plènozas... le nom pourri en plus oui je sais maintenant j'ai rien à dire moi...

    Une épaule pour râler.

    - ... enfin bon, c'était vraiment le genre de gars que je pouvais pas me blairer, en plus il me cherchait continuellement c't'abruti, dès qu'il avait envie d'envoyer une pique c'était pour ma pomme...

    Une épaule pour râler.

    - ...j'pouvais pas me le voir mais lui alors, dès qu'il avait l'occasion il jouait sur mes nerfs, je crois que j'ai jamais autant haï une brindille décolorée dans son genre...

    Une épaule pour râler.

    - ... il s'acharnait et, évidemment, y'a eu un moment où ç'a été la goutte de trop...

    Une épaule pour râler.

    - ... et, tu m'connais, j'ai complètement pété un câble, je peux te dire qu'il l'a senti passé le Plènozas. En plus c'était pas une endive dans son genre qui allait me tenir tête alors j'lai vite remis à sa place...

    Une épaule pour râler.

    - ... forcément le fils à papa n'a pas apprécié et il est reparti la queue entre les jambes pleurer dans les jupes de sa mère. Encore là j'étais plutôt fier de lui en avoir collé une vu que ça me démangeait depuis un moment, autant après j'ai moins ri...

    Une épaule pour râler.

    - ... comme à leur habitude, mes parents m'ont fermement remonté les bretelles, ma mère n'arrêtait pas de geindre sur la honte que je lui inspirais et mon père comme toujours a haussé la voix, et moi ben pour pas changer je les ai envoyé sur les roses...

    Une épaule pour râler.

    - Ce genre d'échange avec mes parents encore je m'y suis fait... par contre je pensais franchement pas que les Plènozas porteraient plainte et, même si on aurait pu me payer un bon avocat, je crois que mes parents étaient plutôt contents de se débarrasser de moi...

    Une épaule pour râler.

    - Voilà comment je me suis retrouvé entre quatre murs. N'empêche quand j'y repense, ch'uis quand même plutôt content d'avoir refait le portrait à Plènozas, même si j'ai pris cher ça valait le coup de voir sa tête de chien battu, qu'est-ce que ça faisait plaisir d'avoir décroché deux dents à ce frimeur !

    Lucas rit de bon cœur, avec cette même façon qu'il avait de ne pas se montrer choqué comme tous ces hypocrites à la solde de l'argent, moi j'ai plus un copec de toute façon alors c'est pas demain la veille que je vais lécher les bottes d'un Plènozas.

    - Je vois, tu t'es vraiment pas fait les bons ennemis, mais c'est une habitude chez toi... bon, il est tard, je suppose que tu dois être à plat, repose toi tu pourras chercher du travail demain.

    Je hochai la tête et le suivais à l'étage où nous nous séparâmes, malgré le fait que mon cas soit devenu invivable en moins d'une journée, ça faisait du bien de retrouver un vieil ami. J'aurais peut-être plus de chance demain matin, en plus ce soir je dors dans un vrai lit !

    Une épaule pour râler.

    ~~~

    Oh c'est sûr qu'avec un Observatueur comme moi tu vas être gâté mon cher Vincent... bad

    N'empêche vous avez vu ? Je suis capable de créer des Sims presque normaux ! he

    La suite quand je peux ~


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  • Descendance d'un Taulard

    Pour inaugurer mon jeu bon je l'avais inauguré avant mais chut je me lance dans un legacy ^.^ Je vais voir pour respecter le fond du challenge mais je promets rien hein parce que, comme je le dis toujours, les règles sont faites pour être transgressées he

    Critères du challenge : Egalité (nan mais on est civilisés ici !), moderne (ch'uis ouverte d'esprit en plus :p), tolérant (de toute façon je n'ai pas d'add on u.u) et techniquement ce serait une démocratie, mais comme ch'uis un dictateur, vous savez à quoi vous attendre ^.^

    Vwala, s'il y a question c'est par comm' ou MP. Je poste également cette histoire sur le forum si vous préférez lire là bas.

    C'est parti pour le début du prologue de l'introduction du commencement !

    Prologue

    Présentation de la Simstory et prologue.

    Le soleil déclinant d'Oasis Springs me brûlait la peau tandis que je mettais pour la première fois depuis plus de six mois les pieds hors des épais murs sombres de ma prison. J'avais une drôle d'impression, de liberté bien sûr mais aussi... de solitude...

    Présentation de la Simstory et prologue.

    Je sortais enfin de ma cellule et tout ce qu'il y avait pour m'accueillir c'était des cactus ? Sympa, je vois à quel point j'ai manqué à ma famille... je sais bien que mon envoi en prison les a pas ravi - c'est limite s'ils m'avaient pas renié - mais ils auraient au moins pu faire semblant de se préoccuper de mon sort pour une fois ! Enfin à quoi est-ce que je pouvais bien m'attendre, j'allai rentrer tout seul, si y a bien un truc que j'ai pas oublié c'est le chemin de la maison. De toute façon elle est tellement grande que je ne risque pas de la louper...

    Présentation de la Simstory et prologue.

    Hum... y'a comme un problème là...

     

    Présentation de la Simstory et prologue.

    J'étais scotché, où était passé ma maison ? Je restais là, les bras ballants, à contempler avec un air complètement ahuri le terrain rasé qui se dressait devant moi. Bah ? Qu'est-ce que c'était encore que ce bordel ? Une maison ça ne disparaît pas comme ça quand même ! Et où sont passés mes parents ? Tiens un SMS...

     

    Présentation de la Simstory et prologue.

    "Bonjour mon chéri, ton papa et moi pensons très fort à toi et espérons que ces quelques mois passés dans cette vilaine prison ne t'auront pas trop défiguré et t'auront servi de leçon..."

    Nan mais fallait pas exagérer non plus ! J'étais pas parti en guerre ! Bon il était vrai que certains de mes camarades de cellule avaient un sacré crochet du droit, mais c'était pas tous des monstres, puis y'avait les gardiens qui nous collaient h24 de toute façon... bref.

    "... tu comprendras que de nombreuses affaires politiques nous attendent très loin de toi à Newcrest, si la maison a disparu c'est normal nous l'avons faite démolir, elle n'était pas conforme à notre image et il fallait nous faire oublier de cette ville après le scandale que tu avais provoqué. Par ailleurs nous avons pris l'initiative avec une aide extérieure que je ne citerais pas mais que tu connais bien de changer ton nom de famille. Tous tes nouveaux papiers sont joints à ce mail. Nous te léguons tout de même l'ancien terrain que nous possédons encore, ainsi que cette bonne vieille statue de Mamie qui a insisté pour te la refourguer léguer."

    Je relevai la tête de mon téléphone en fronçant les sourcils.

    - Une statue ? Quelle statue ?

    Présentation de la Simstory et prologue.

    - Ce truc ?! Mais c'est hyper laid ! Voyons la suite du message...

    "Pour le reste, tu es majeur à présent, tu n'as plus besoin de nous et n'essaie même pas de demander. Bonne chance et ne t'inquiète pas pour nous, nous nous portons très bien sans toi. Ta maman et ton papa qui t'aiment."

    Au moins il était clair que je ne leur manquais absolument pas, et l'hypocrisie de ma mère m'étonnera toujours. Voyons voir ces fameux nouveaux papiers pseudo-légaux avant que je ne broie mon portanle...

    - Hein ?!

    S'ils l'avaient pu mes yeux seraient sortis de leurs orbites. Taulard ?! Est-ce que c'était seulement un nom pour commencer ? C'est quoi cette blague ? Ils se fichent complètement de moi ! Si j'étais déjà pas ravi à l'origine, là je voyais rouge. S'ils croyaient que ça allait passer avec un simple SMS chez moi eh bien ils connaissaient bien mal leur fils. Allez en numéro masqué sinon elle ne répondra pas...

    Présentation de la Simstory et prologue.

    - Allô ?

    Je lâchai d'un ton froid, maîtrisant difficilement l'envie que j'avais de balancer mon téléphone et l'écraser sans pitié :

    - Bonjour maman.

    - Ah flûte, Vincent. Hum... tu n'as pas reçu mon message ?

    En quelques secondes ma voix monta et je me mettais à crier dans le combiné :

    - SI ! Justement ! Et j'espère que c'est une blague ! Vous n'allez pas me laisser comme ça ?!

    Ecoute Vincent, tu as 18 ans et quelques, tu es grand, tu peux te débrouiller sans tes parents.

    - Quoi ?! Mais j'ai pas un rond ! J'viens de sortir de prison je te rappelle !

    - Tu as une maison.

    - Tu appelles ça une maison ?! Y a rien ici ! Même pas de toilettes ! Nada !

    - Fais comme toute personne responsable et trouve-toi un travail.

    J'explosai :

    - Je t'en ficherais des personnes responsables ! Je vous biiiip bande de biiiip, allez vous faire biiiiip ! Tu parles de parents vous n'êtes vraiment que des biiiiip !

    - ...

    Un bruit sourd retentit à l'autre bout de la ligne.

    - ...maman ?

    Cette fois ce fut une voix beaucoup grave et énervée qui me répondit :

    - VINCENT ! Tu te rends compte de ce que tu as dit à ta mère ?! Ma pauvre Henriette en a tourné de l'oeil !

    Je répliquai d'un ton mauvais :

    - Oh, quel dommage vraiment, aussi préoccupant pour moi que mon avenir pour vous...

    - Si je t'attrappe ... !

    - Ca va être un peu difficile hein, je te rappelle que vous avez déménagé le plus loin possible de ma position.

    - ... adieu.

    Et il raccrocha d'un coup sec. Au moins à présent c'était clair : j'allais me débrouiller tout seul, avec mon nouveau nom tout pourri.

    Présentation de la Simstory et prologue.

    Je parcourai des yeux mon terrain vide, fulminant, avec la forte envie d'étrangler le premier qui passerait. Ce à quoi je ne m'attendais pas, c'était que ce soit lui le premier qui passerait...

     

     

     

    ~~~

    Vala vala, je posterais la suite dès que je l'aurais terminée, pour que vous ayez un vrai début ^^

    J'espère que ça vous aura plu ^^

    Si jamais les images sont trop lourdes à charger, n'hésitez pas à me le dire je les convertirais (pour l'instant mon ordi n'a aucun logiciel fait pour dessus vu qu'il est neuf mais voilà x) )


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  • Me revoilà avec un nouveau blog d'histoires Sims (l'ancien ici pour les curieux) mais cette fois ce sera des histoires sur les Sims 4 :)

    J'espère que ça vous plaira, cet article servira également de sommaire, sur ce bonne visite ^.^

    PS : Je sais j'ai encore eu la flemme de customizer mon blog, un jour j'm'y mets.

    Sommaire

    - Descendance d'un taulard (legacy) -

    G0

    Présentation de la Simstory

    Une épaule pour râler

    Le sort s'acharne

    Des changements dans son quotidien

    Quand ça vous tombe dessus...

    Le temps passe et les liens se solidifient

    Du feu dans la poitrine

    Des projets pour l'avenir

    G1

    Heureux événements

    Venin de serpent

    Des menaces, et puis quoi encore ?!

    Faites des gosses qu'ils disent.

    Mélissa

    Les malheurs de Mel'

    Rencontre

    Un nouvel ami ?

    Le roi des bêtises

    Changer les choses

    La Brigade Anti-Plènozas.

    Doute

    Apparences

    Disparu

    Les affaires des Caliente

    Riposte.

    Plan B.

    Marché conclu ?

    Anniversaire et annonce, tout en A.

    Le déménagement.

    Nouveau lycée

    Passage à l'adolescence

    Le club.

    Laissée derrière.

    Kelly

    L'Art et Docteur

    Clem' la super-espionne

    Les choses s'accélèrent.

    La plus-si-petite dernière

     

    - Délire (bidule non identifié) -

    Délire entre moi, moi et moi.

    L'art des salutations (presque) réussies

    Nos voisins nous aiment un tout petit peu trop...

    Une soirée TOUT A FAIT normale

    Echanges aimables

    Entraîneur auto-proclamé et vision d'horreur dans les douches

    "Pique nique" express

    Tournée de Pâques

     

    - Bref, j'ai tenté l'Apo' -

    Le début de la fin.

    La séduction pour les Nuls.

    L'Apo' c'est pas rigolo.

    Bébé en route.

    C'était mieux quand il était dans son ventre...

    Sale mioche et mise à jour pourrie.

    Le digne fils de son père.

    Larbine en détresse.

    La non-séduction est un trait héréditaire...

    Avalanche de rides


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